Bruce Bastian, a Founder of WordPerfect, Is Dead at 76. (New York Times)
Bruce Bastian was born into a Mormon family in Idaho. After training as a musician, he studied computer science and then founded a company in partnership with one of his professors and developed WordPerfect. The latter became the dominant word processing software when personal computers were on the rise in the 1980s, making him wealthy. In 1976, he married Melanie Laycock. They had four sons. Business trips to Europe led him to discover a world less narrow-minded than his native Idaho, which opened his eyes. In the mid-1980s, during a stay in Amsterdam, he had his first affair with a man. This man, an 18-year-old named Walter, became his boyfriend, as Bastian recounted in a long, very candid, interview for Outwords. Upon his return, he was a wreck and, after a few days, confided in his wife. They eventually divorced several years later. At the same time, he broke up with Walter: “I never wanted it to be said that I left Melanie for another man.”
Bruce Bastian naît dans une famille Mormone de l’Idaho. Après une formation de musicien, il fait des études d’informatique puis fonde une société en partenariat avec un de ses professeurs et développe WordPerfect. Ce dernier devient le traitement de texte dominant au moment où l’ordinateur personnel prend son essor dans les années 80, et il fait fortune. En 1976 il épouse Melanie Laycock. Ils auront quatre garçons. Les voyages d’affaire en Europe l’amènent à découvrir un monde moins étriqué que son Idaho natal, ce qui lui ouvre les yeux, et au milieu des années 80 il a sa première aventure avec un homme lors d’un séjour à Amsterdam. Cet homme, un jeune homme de 18 ans nommé Walter, raconte-t-il dans une longue interview très franche pour Outwords, devient son petit ami. À son retour il est dans un état pitoyable et après quelques jours s’en ouvre à sa femme. Ils finiront par divorcer quelques années plus tard. En même temps il rompt avec Walter : « I never wanted it to be said that I left Melanie for another man. »
Gabriel François